
La masturbation est le fait de masturber. Le verbe masturber vient du mot latin masturbari composé lui-même des mots latins mas pour mâle et turbo pour agiter. Dans le sens sexuel, masturber signifie agiter le mâle, c’est-à-dire remuer l’organe viril de l’homme : son pénis. Dans le langage courant, on dit se branler la bite ou se taper une queue.
D’après le dictionnaire Larousse, la masturbation désigne l’excitation manuelle des organes génitaux externes (c’est-à-dire le gland, le prépuce, le frein, la peau du pénis, la verge, les testicules, le scrotum, le périnée, l’anus, la prostate, le pubis, le bas-ventre, les cuisses, les poils, les mamelons tétons, le corps) dans le but de provoquer le plaisir sexuel (sensation au niveau des organes génitaux et parcourant tout le corps jusqu’au cerveau).
Chez l’homme, la masturbation commence par un signal quelconque qui éveille le désir sexuel. Ce signal peut par exemple être de voir les attributs sexuels d’une autre personne, de sentir les hormones de quelqu’un, d’effleurer la peau de l’autre, d’entendre quelqu’un gémir de plaisir, de goûter à quelque chose de bon, d’imaginer une scène excitante. Pendant l’acte même de masturbation, via des mouvements de va-et-vient avec la main sur le sexe dur, du liquide pré-séminal transparent, communément appelé mouille, peut s’écouler du bout du pénis pour humidifier l’urètre et le gland. La masturbation se termine généralement par l’orgasme et par l’éjaculation de sperme blanc évacué en plusieurs jets plus ou moins puissants. Un sentiment de bien-être envahit alors tout le corps qui retrouve progressivement son état de repos. On se sent soulagé et bien détendu.
La masturbation peut se pratiquer seul, en stimulant ses propres organes génitaux et ses propres zones érogènes, on parle alors d’autoérotisme ou d’onanisme. La masturbation peut également se pratiquer à plusieurs, à deux ou en groupe.

Quand la masturbation est pratiquée à plusieurs, chaque personne peut stimuler ses propres organes génitaux ou alors stimuler ceux des autres. On parle alors de masturbation réciproque ou de masturbation mutuelle. Il est possible de toucher le sexe de l’autre avec son propre pénis.
On peut parfaitement pratiquer le sexe à plusieurs sans pour autant être qualifié d’homosexuel ou de gay. En effet, de nombreux hommes hétérosexuels aiment avoir du plaisir sexuel avec d’autres hommes tout en restant hétérosexuel.
Pour trouver des partenaires sexuels, le site web Branle.fr propose un service de mise en relation entre mecs qui recherchent un plan branle : https://www.branle.fr
La masturbation peut se pratiquer avec des objets sexuels tels que des godemichés enfoncés dans le rectum à travers l’anus pour stimuler la prostate.
Dans le but d’accentuer le désir sexuel et obtenir une bonne érection des corps caverneux du pénis, la masturbation est souvent accompagnée de pensées durant lesquelles celui qui se masturbe imagine des scènes de sexe. Pour aider ces pensées, certains regardent des contenus pornographiques, tels que des vidéos de cul ou des photos de sexe. Le fantasme sexuel et les rêves érotiques alimentent également ces pensées coquines.
Dans la nature, des faits de masturbation ont été observés chez quasiment tous les mammifères dont les primates. La sexologie (la science de la sexualité humaine) considère la masturbation comme une activité sexuelle normale au même titre que les autres pratiques tels que le coït, la sodomie, la fellation.

Aujourd’hui, il existe des synonymes pour l’action de se masturber. En effet on parle de se branler, se tripoter, s’astiquer, se toucher, se palucher, se pogner, se pignoler, secouer le manche, se poigner, se taper une queue, se doigter, s’amuser, jouer. Bon pour la santé, la branlette est à consommer sa modération.

Aller à la page d’accueil du site Branle.fr : https://www.branle.fr